Debut du livre que je suis en train d'ecrire

Pensé équestre (de la prise de conscience à mon devoir de bien faire pour celui qui me donnera la chance de faire)Par Pascal Pierrat, vendredi 24 juin 2011, 13:20
Cette pensée équestre grandit chaque jour, ce ne sont que quelques bribes d'un livre sur ma vision du cheval : quand j’écris, cela me permet de pouvoir progresser en relisant ma philosophie, mes remarques, mes méthodes.Les aides de mon corps que le cheval comprend sont mes lacunes de la communication humaine, que seul le cheval arrive à comprendre. Plus mon corps communique, plus il me saisit, me guérit et se guérit. Mon nombril, c’est mon centre de gravité, quand il bouge tout l'équilibre est recalculé, quand les gens auront compris pourquoi mes mains sont là, ils auront compris que ce n'est que pour faire UN avec la bouche du cheval.Pour l'ultime harmonie, la polyvalence doit être égale entre l'homme et le cheval. Les arts martiaux m’ont appris à augmenter mon poids de corps vif, dites-vous que je les adapte à l'équitation. Comment ?Vous et votre corps n’êtes pas qu'UN , vous Êtes un TOUT , un TOUT qui comporte beaucoup d'organes avec des actions multiples sur votre fonctionnement, comment se faire plus lourd ou plus léger sur un cheval comment se rééquilibrer grâce à l'air, je peux gonfler un poumon et pas l'autre donc augmenter notre capacité de poids d'un côté ou de l'autre, à volonté, ce qui va forcément avoir un effet sur votre assiette, effet bénéfique pour la disparition des aides, en même temps d’en ajouter non ?Le tchi vient de la respiration du centre de gravité, il est là pour générer les énergies et les disperser à notre guise. Inspirer, c’est rajouter l'équivalent de plusieurs litres d'air ce qui équivaut à plusieurs grammes, voir kilos de poids net, imaginez ce que vous pouvez ajouter sur le dos d'un cheval et transférer rien que grâce à votre respiration, voilà LA méthode Pascal Pierrat, l'équitation et sa respiration martiale.Garder l'académique pour les chevaux forts, un cheval faible il faut s'adapter à lui et non pas le rentrer dans un schéma équestre ridicule : je préfère libérer son dos pour l’aider, je voudrais être le pompier du cheval et pas l'académicien !Mes mains et mes doigts pour sa bouche, mes fesses et mon buste pour son dos, mes mollets mes jambes et les chaleurs de mes entre-cuisses, pour son arrière main, quand enfin on se trouve et s'associe, la magie opère pour créer un esprit une façon d'être, un résultat, une harmonie, les corps se réparent et l'esprit s’apaise.Je ne peux oublier ce qui défile devant mes yeux , oublier cette association de mots qui forme des phrases, qui d'un rien, forme un grand tout et devient vision, perception, compréhension, mais surtout, de la philosophie que j'emploie pour me faire comprendre d’un être d'une espèce différente que la mienne, ou le langage passe par des choses primaires, mais aussi très scientifiques, comme l'utilisation d'un mors, pour le bien du cheval et non pour sa soumission, mais aussi pour se faire respecter et se protéger de la bêtise éventuelle d'un animal aussi fragile psychologiquement que le cheval. L’éduquer à travers la jambe mais aussi les doigts, son propre corps, des sons, de la respiration, des ondes, c’est rendre la communication, universelle, c’est fabriquer des être civilisés par la compréhension mutuelle. Je ne désensibilise pas un cheval, je le sensibilise, je désensibilise une zone, pour sensibiliser un ensemble.Et oui, petit cerveau, grande réaction, voilà la complexité du cheval.Nous sommes dans une distorsion du temps qui remet les réalités en face, le cheval maître d'école, se fabrique par des êtres comme moi, tout aussi complexe qu'il est lui même.Je ne veux pas être mais simplement devenir, voilà ce qu'il ma dit.C’est pour ça que je ne me suis jamais qualifié d'éthologue mais plutôt de psychologue : je résous les problèmes par l'équitation et pas seulement par la relation. Le dressage d'un cheval, qu'il soit déséquilibré ou pas, se fait dans la communication corporelle, l’assurance, le savoir, la fermeté, la douceur, l’amour. Mais si tout ça n'est pas réuni, à mes yeux ça ne ressemble à rien.Prendre pour rendre et rendre pour récompenser.Nous devons être à l'écoute, mais eux aussi pour que cela fonctionne, à nous de leur montrer comment ils doivent s’y prendre et leur prouver, que c’est bon pour eux et là, ils nous donnent tout.Le mort est au cheval ce que les bâtons sont aux skieurs, l'un comme l'autre, on peut faire sans, mais l'un avec l'autre quel équilibre, quelle légèreté du mouvement ! Grâce à toi, je peux me poser et me rééquilibrer, à ma guise, sans toi un jour le tour de magie s'arrêtera à mes dépends. Attention à la graine que tu vas semer, un jour tu la récolteras.Je les entends, les écoute, les ressent et les comprends.Etonnamment, aujourd’hui je ne vois en toi que ce que je fais de toi, ce que tu es, tu seras mon reflet, si tu es mauvais, je suis mauvais, si tu es méchant, je suis méchant, si tu es bon je serai bon, mais dit-toi que ce que je suis de toi n'est pas ce que tu vois dans le miroir en te préparant mais ce que ton âme elle-même est : remet-toi en question avec moi et je le ferai pour toi, tu vois tout peut-être simple, alors veux-tu de moi ? Si oui, fait ce que je te dis ! Se retrouver, c’est prendre avant tout conscience à quel point on pouvait s'aimer et du coup, à quel point on va pouvoir s'aimer encore plus et s'offrir l'un à l'autre, des instants précieux et uniques.La recherche dans laquelle je me suis lancé à cheval me demande d'étudier sérieusement toutes formes d’équitation et tous cavaliers dignes de ce nom, afin d'avoir une analyse sérieuse et complète du sujet, ce qui permettra une progression personnelle évidente, et bien sûr celle de mes élèves.Je ne suis peut-être pas un artiste mais reste le seul acteur de ma vie !Comment j'en suis arrivé là?Difficile à expliquer, j'utilise le même esprit que dans les arts martiaux, je gère ma respiration, ma confiance en moi, mes craintes, je suis toujours sûr de moi : déjà ça, les chevaux le sentent.Je mélange le dressage équestre, classique et les arts martiaux, j'utilise tout mon corps comme moyen de communication avec le cheval, pas de technique figée, au contraire de la fluidité de mouvement de nos deux corps.Bientôt, je vous livrerai la liaison entre les arts martiaux et le dressage que j’effectue, et je mettrai l'accent sur la polyvalence des êtres, humains comme équins.Une bonne polyvalence couple cheval-cavalier permet une meilleur compréhension, une musculature complète, une gymnastique scientifique, cela dans le seul but de créer l'harmonie entre les êtres : Cheval et Humain.L’action de prendre et rendre est la base de mon travail d'éducation avec le cheval.Prendre c’est lui apprendre, Rendre c’est lui montrer qu'il a bien fait et ce que j’attends de lui, la récompense, la liberté.Prendre, c’est lui ouvrir la route, c’est lui montrer quelle voie je lui offre et quel bien ça fait sur son corps et son mental.Musculations, assouplissements, gymnastique, flexion de mâchoire, flexion d'encolure, développements de l'intelligence, toutes ces choses qui éduquent nos chevaux dans le bon sens (LE DRESSAGE). Les monter en les réparant en leur faisant du bien savamment, on pourrait appeler cette équitation «l’équistéopathie », joli rêve : n'est ce pas ? On n’y est pas encore, il va falloir écouter, chercher et progresser encore…Rendre pour détendre, pour entendre, pour ne plus à avoir à prendre, rendre parce que c’est compris, parce que c’est Appris, parce que c’est Acquis, rendre pour avoir envie de dire 0ui, Oui, Oui !Chaque cheval est différent, chaque cavalier est différent mais à la fin il ne reste que deux équitations, la bonne et la mauvaise, peu importe la méthode ou la discipline, il y a la bonne et la mauvaise, celle qui fait du bien, qui répare, qui préserve, ou celle qui ne lui fait pas de bien qui ne le répare pas, ne le préserve pas.Sportive, Artistique, Loisir, peu importe, ce qui compte c’est la façon dont on travaille son cheval : Intelligence, Amour, Technique, Psychologie, Intuition, ce qui amène au savoir équestre, le bon selon moi, la compréhension des êtres.S’oublier soi-même c’est ne pas oublier son cheval, c’est penser à lui. Un minimum de connaissance en anatomie peut permettre d'améliorer son équitation, par la compréhension et fonction de la biomécanique équine. Pour obtenir la légèreté et l'acceptation positive au travail du cheval dans le but de lui faire du bien, il faut passer par la biomécanique, par l'équilibre, les transferts de poids sur la masse du cheval, leurs effets positifs et négatifs. Faire appel à son intuition pour capter et développer l'état d'esprit dans lequel est votre cheval et dans lequel vous voulez le mener, quelle psychologie employer pour s'adresser à un individu qui est unique en soi?Le cheval ne rentre pas forcément dans un schéma d'utilisation et de comportement. Son esprit individuel lui fait avoir des réactions propres à lui même.Délicates réflexions à se faire avant d'avoir la compréhension idéale pour faire de nous des cavaliers dignes de nos chevaux.L'équitation intuitive de dresseur que j'enseigne est basée sur la relation homme-cheval, sur l'équilibre physique et mental et l'adaptation que nous sommes capables d'employer sur chaque cheval, car chaque cheval est un individu unique : lié a un minimum de technique académique, on arrive à des résultats certains.Mors droit ou brisé, ou pas de mors ?Mon cheval est un cheval de 16 ans qui a eu des tas de problèmes physiques, problèmes résolus par l’équitation et la gymnastique, le filet a des actions imprécises, il se brise et selon les réactions du cavalier ou du cheval sont complètement faussées, tantôt sur commissure tantôt sur l'autre, tantôt sur le palais et tout ça sans vraiment le vouloir : Qui voudrait que son mors tire les commissures de son cheval ou vienne s'appuyer sur le palais? Personne, me semble t-il.Et pourtant, c’est exactement ce que les mors brisés ont comme effet. C’est évidement pour celà que les maitres de dressage anciens ont inventé le mors de bride, l'association d'un filet et d'un mort droit passage de langue. Du coup, selon les réactions et les demandes, tantôt sur un mors, tantôt sur l'autre, sur des allures lentes et descendantes, le filet convient très bien, sur des allures de rassemblé et d'impulsion, il ne convient pas du tout : la machine à détruire la bouche se met en route.L'avantage du droit passage de langue est qu'il se pose à un endroit précis et agit sur la mâchoire du cheval de gauche à droite, et vis versa, de bas en haut et vis versa, ce qui permet au cheval de bien se poser et de pouvoir s'équilibrer parfaitement, besoin évident. Il y a des complexités évidentes. Ne pas avoir de mors n'est pas ce qu'il y a de mieux à mes yeux pour le physique du cheval, car nous devons être des éducateurs pour eux et non pas se dire la nature veut que.Il faut les éduquer, les équilibrer, les rendre fort et aérien et ça, le mors est là pour ça justement, un mors savant dit dur est en fait le moyen de communication le plus fin qui existe et savant dans des mains expertes. Le cheval avec un grand C :L'équitation, en plus du plaisir, est une science, c'est de l'Art à l'état pur. Il faut pour leur bien-être, devenir le plus léger possible. Léger dans les aides bien sûr, pas dans le poids. Feu le maître Nuno Oliveira avait tout compris de cette équitation scientifique où tout était basé sur la légèreté, sur la quasi-disparition des aides. Pour celà, il faut travailler son assiette et communiquer avec son cheval par la force de l'esprit. Le cheval a ce don merveilleux de nous ressentir beaucoup plus que nous ne pourrions l'imaginer. La communication mentale avec un cheval passe par son observation dans son habitat naturel, cheval grégaire, comme l'homme, avec ses soucis, ses démons, ses plaisirs, découvrez-les, regardez-les, ressentez-les et tout vous paraîtra plus simple. L'Équitation de légèreté passe par la communication, par le désir de faire du Bien à sa monture, vous devez être capable de ressentir chaque mouvement de leur corps, vous devez être capable de leur masser le dos tout en les montant. Pensez à leur baisser la tête le plus bas que vous pourrez, de cette façon vous obtiendrez l'arrondi tant recherché, pensez aussi aux flexions d'encolure qui permettront au cheval d'acquérir une grande souplesse et une plus grande aisance dans les mouvements. Trop de gens en dressage confondent le ramené, le placé, le rassemblé, l'encapuchonné, grand nombre de dégâts peuvent être engendrés par ce genre d'erreurs. Combien de chevaux voit-on placés et rassemblés tout en ayant la tête en l'air, des encolures très relevées...ceci est l'exemple même de tout ce qu'il ne faut pas faire, les dégâts sur le dos et les vertèbres sont irréversibles. Avec le poids des années passées, je ne prétends pas être un très bon cavalier mais je me dis avoir compris et avoir fait du Bien à mes chevaux, à tous mes chevaux, en les achetant dans des états plus qu'effroyables pour la plupart....je les "répare" dans leur tête et je les remets en confiance face à l'homme. Cet homme qui lui a fait tant de mal dans le passé....alors par pitié si vous les aimez, observez-les, découvrez-les en tant que chevaux et non pas seulement en tant qu'objets destinés à la satisfaction de vos bons plaisirs. La vraie compréhension, c’est faire preuve de psychologie pour prendre le temps de l’apprentissage avant de rendre en permanence et atteindre la légèreté des aides, elle ne vient pas sens prendre. La légèreté, ce n’est pas dans le dressage du cheval, c’est dans l'obtention, mais le dressage amène à la légèreté.Ne confondez jamais un cavalier de dressage et un cavalier dresseur, les uns montent sur les chevaux que les autres ont préparés.Le sentiment partagé entre deux êtres très différents, mais quand Amour se mêle avec Compréhension, les sentiments apparaissent et son flat-Grant comme les aides à cheval les mots disparaissent. A l'élève je dis, je reste en silence pour laisser ton imagination divaguer rêve et agir, je suis là contrôlant tout, regardant tout, sans être là, juste pour vous laisser la liberté que vous désirez, écoutez moi, écoutez les et tout ira bien, soyez, ne croyez pas être, je suis et reste votre humble serviteur au service des chevaux.La finalité, faire de vous des cavaliers dresseurs respectueux, des cavaliers dresseurs gymniques, légers, qui comprennent que la communication corporelle est universelle, que mes aides et celles que je vous transmet sont seules celles de l'esprit et du corps.Cela suffit pour que ce soit compris dans les deux sens, le mot Century prend enfin tout son sens quand la légèreté des aides apparait.le grand n'importe quoi et la grande escoquerie de l'ethologie ses qu'il interagisse dans l'observation , se qui rend le therme ethologie contradictoire quand on observe on interviens pas ,toute la difference avec la psycologie equine qui elle interagit apres obsvervation, qui rend le travail plus juste plus fin plus adapter car chaque etre est different ,savoir se placer vis a vis d'un etre ne peux etre une methode, mais simplement une action lié a un comportement , chaque action enjendre une reaction qui serra ou pas benefique pour le cheval celon la psycologie mise ou pas, la prend tous sont sens l'equitation intuivie sur une base academique .

l'équitation ses comme la bonne soupe ya la soupe de grand mere du superb marcher et y' a la soupe de( Grand Mere!)

l'incompetence et l'ignorence a cheval est malheureusement la pire des maltraitence pour les chevaux , il faut arreter de penser a son plaisir ou croire au siens, mais le monter justement, scientifiquement, pour que au contraire, cela soit une vraix delivrence pour eux d'etre monter, une guerison, une association parfaite entre deux etre qui se soigne l'un envert l'autre, l'un pour l'autre.

La main est un moyen de communication pour la bouche du cheval, il nous envoie des messages, nous lui comuniquons nos désirs, grace à ce rapport moelleux avec la bouche que nous devons avoir avec le cheval en passant par le mors, nous obtenons la déglutition, la flexion de machoire et les flexions d'encolure qui nous permettent d'obtenir la décontraction musculaire et mentale du cheval, le mors doit être et est seulement un outil de comunication non un outil de soumission, part le moelleux de la main et des jambes seulement vous otiendrez la légèreté!

Nos objective de legertée s'ateigne doucement , la legertée est une finbalitée mais avant d'y arriver il faut prendre aprendre rechercher pour enfin rendre et comprendre, nos chevaux sont le reflet de se que nous sommes il devienne se que nous en fesons a nous de les rendre sublime et de sublimer nos vie ensemble car rien est au hazard et rien ne se fait tous seule

Mes écrits servent à ne pas oublier mes réflexions, mes découvertes, mes émotions, mon vécu, mes expériences. Je ne suis que l'ombre de moi même, mais le reflet de ce que tu es devenu, grâce a toi, aujourd'hui ma vie a un sens, une vision, une ligne de conduite. Grâce à toi des vies ne tiennent qu’à moi.Merci, sans toi je serai encore en perdition.Pascal Pierrat